MEDITATION
Les Péchés Caressés Empêchent A La Vérité De Pénétrer
P.J. pp. 35-36: « « Celui qui a reçu la semence parmi les épines, c’est celui qui entend la parole, mais en qui les soucis du siècle et la séduction des richesses étouffent cette parole, et la rendent infructueuse.» Souvent la semence évangélique tombe parmi les épines et les mauvaises herbes. Si le coeur humain n’est pas transformé, si les vieilles habitudes d’une vie de péché ne sont pas délaissées, si Satan n’est pas banni de l’âme, la bonne semence sera étouffée par les épines qui croîtront à leur aise.... Si le coeur n’est pas placé sous le contrôle de Dieu, si le Saint-Esprit n’est pas constamment à l’oeuvre pour raffiner et ennoblir le caractère, les vieilles habitudes reparaîtront sans cesse.… Le Christ a énuméré les dangers qui mettent l’âme en péril. D’après le récit de Marc, ce sont les « soucis du siècle », la « séduction des richesses» et « l’invasion des autres convoitises. » L’Evangile de Luc mentionne « les soucis », « les richesses et les plaisirs de la vie. » Voilà ce qui étouffe la parole de Dieu, la semence spirituelle, et l’empêche de se développer. L’âme cesse de tirer sa subsistance du Christ, la spiritualité s’affaiblit et finit par disparaître complètement. »
Ce texte nous exhorte à prier afin que la graine qui a été semée dans notre cœur puisse tomber dans une bonne terre, et qu’elle puisse prendre racine; afin que nous soyons libérés des soucis de cette vie et du péché, car qu’importe l’impact impressionnant de la Vérité que l’on entend, elle n’atteindra jamais le cœur s’il contient le moindre péché caressé.
CE QUI S’ACCOMPLIRA SOUS LA SIXIEME TROMPETTE PENDANT QUE LE TEMPS DE GRACE DURE
DISCOURS DE V.T. HOUTEFF
MINISTRE DES ADVENTISTES DU SEPTIEME JOUR D.
SABBAT 15 NOVEMBRE 1947
CHAPELLE DU MONT CARMEL
WACO, TEXAS
Le sujet de notre étude se trouve dans Apocalypse chapitres 10 et 11. Nous débuterons avec:
Apo. 10:1 – « Je vis un autre ange puissant, qui descendait du ciel, enveloppé d’une nuée; au-dessus de sa tête était l’arc-en-ciel, et son visage était comme le soleil, et ses pieds comme des colonnes de feu. »
Cet ange possède toutes les caractéristiques d’une puissance qui envoie « la pluie de l’arrière saison », et qui fait que le grain spirituel se développe pleinement, car c’est ce qu’indiquent le nuage, le soleil, et l’arc-en-ciel. Puisque l’arc-en-ciel n’apparaît jamais sans pluie, l’ange est par conséquent celui qui amène la pluie et le soleil en vue de développer la moisson finale.
Apo. 10:2 – « Il tenait dans sa main un petit livre ouvert. Il posa son pied droit sur la mer, et son pied gauche sur la terre. »
Il n’y a qu’un livre de la Bible qui devrait être ouvert et ce livre est celui de Daniel (Dan. 12:4). Puisque la première chose que fit l’ange était d’ouvrir le livre, l’analyse prouve qu’il apparaît réellement sur la scène au commencement du temps de la fin, époque où devrait s’ouvrir le livre (Apo. 10:2).
Vous savez que naturellement l’homme commence à marcher du pied droit. Or, puisque le pied droit de l‘ange se trouvait sur la mer et son pied gauche sur la terre, le symbolisme démontre qu’il commence à marcher sur la mer, la province des bêtes de Daniel (Dan. 7), puis sur la terre, la province de la bête à deux cornes (Apo. 13:10-18). Par conséquent, son oeuvre commence dans l’Ancien Monde et devrait inclure la toute première vérité qui a été révélée dans le livre de Daniel. Son message dans la totalité, ainsi que sa puissance, prouvent qu’il est mondial: il est sur terre et sur mer.
Apo. 10:3,4 – « Et il cria d’une voix forte, comme rugit un lion. Quand il cria, les sept tonnerres firent entendre leurs voix. Et quand les sept tonnerres eurent fait entendre leurs voix. J’allais écrire; et, j’entendis du ciel une voix qui disait: Scelle ce qu’ont dit les sept tonnerres, et ne l’écris pas. »
Ici nous voyons qu’une autre vérité aurait pu être rapportée, mais il fut demandé à Jean ne pas l’écrire. Nous ne connaissons pas la portée de la vérité relative aux Sept Tonnerres, mais il est possible qu’elle soit aussi longue que celle des Sept Trompettes. Peu importe, cependant, une chose est claire: c’est que l’omission des Sept Tonnerres laisse un vide dans la chaîne de Vérité. Et puisque les sept Tonnerres ne sont pas rapportées, la vérité qui les concerne ne peut pas être révélée par interprétation, car il n’y a aucun écrit les concernant et par conséquent aucun support pour leur interprétation. Si donc nous devons connaître la vérité relative aux Sept Tonnerres, elle devrait nous être révélée peut-être par le même moyen selon lequel l’Apocalypse fut montrée à Jean.
Apo. 10:5-7 – « Et l’ange, que je voyais debout sur la mer et sur la terre, leva sa main droite vers le ciel, et jura par celui qui vit aux siècles des siècles, qui a créé le ciel et les choses qui y sont, la terre et les choses qui y sont, et la mer et les choses qui y sont, qu’il n’y aurait plus de temps, mais qu’aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la trompette, le mystère de Dieu s’accomplirait, comme il l’a annoncé à ses serviteurs, les prophètes.» (Au commencement du son de la septième trompette, le Mystère de Dieu sera accompli.)
Qu’en est-il de la déclaration « il n’y aura plus de temps»?-- La réponse se trouve au verset 6, qui en réalité prouve qu’il n’y aura plus de temps pour que se termine le Mystère de Dieu; que les jours qui restent de la sixième trompette, le moment où retentit la septième trompette est l’époque où le Mystère de Dieu, l’Evangile du Christ doit se terminer. En fait, la toute première annonce du septième ange est que les royaumes de ce monde sont devenus les royaumes de notre Seigneur -- que l’œuvre Evangélique est donc terminée.
Apo. 10:8-10 – « Et la voix, que j’avais entendue du ciel, me parla de nouveau, et dit: Va, prends le petit livre ouvert dans la main de l’ange qui se tient debout sur la mer et sur la terre. Et j’allai vers l’ange, en lui disant de me donner le petit livre. Et il me dit: Prends-le, et avale-le; il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il sera doux comme du miel. Je pris le petit livre de la main de l’ange et je l’avalai; il fut dans ma bouche doux comme du miel, mais quand je l’eus avalé, mes entrailles furent remplis d’amertume.»
Manger le livre revient à dire « avaler » ses paroles. La douceur du miel doit être la joie qui découle de ses promesses, et évidemment l’amertume signifie l’incapacité de digérer, de tout comprendre, et par conséquent un désappointement. Ces choses, vous le savez se sont accomplies à l’époque du Premier Mouvement Adventistes, lorsque par l’étude du livre de Daniel, ils apprirent que la purification du Sanctuaire (Dan. 8:14) devait commencer en 1844; mais, ils comprirent à tort que la purification voulait dire la fin du monde et le retour de Christ. Le désappointement arriva après que la date fixée passa et après que l’espérance du peuple ne devint pas une réalité.
Apo. 10:11 – « Puis on me dit: Il faut que tu prophétises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois. »
Après le désappointement l’ordre leur fut donné de prophétiser de nouveau; c’est-à-dire de proclamer de nouveau la purification du sanctuaire. Cette oeuvre, ils devaient l’accomplir pour beaucoup de peuples, de nations, de langues, de rois, pas à tout le monde de toute évidence.
C’est alors que le Premier Mouvement Adventiste fut réorganisé et renommé Adventistes du Septième Jour. Par conséquent, l’Organisation des Adventistes du Septième Jour, ne finira pas l’œuvre. Son message n’est pas proclamé à tous les peuples, toutes les nations, toutes les langues et tous les rois. Par conséquent, l’église doit être, elle aussi réorganisée si l’Evangile du Royaume doit être prêché à toutes les nations. « Un réveil et une réforme doivent se produire, sous l’action du Saint-Esprit. Réveil et réforme sont deux choses distinctes. Réveil signifie un renouveau de vie spirituelle qui ait pour effet de vivifier les facultés de l’esprit et du cœur et de mettre fin à la mort spirituelle par une résurrection. Réforme signifie réorganisation, changement dans les idées et les théories, les habitudes et les pratiques. » Christ Notre Justice, p.89.
Comment se fera la réorganisation? -
« Car voici, l’Eternel arrive dans un feu, et Ses chars sont comme un tourbillon; il convertit Sa colère en un brasier, et Ses menaces en flammes de feu. C’est par le feu que l’Eternel exerce Ses jugements, c’est par son glaive qu’il châtie toute chair; et ceux que tuera l’Eternel seront en grand nombre.
« Ceux qui se sanctifient et se purifient dans les jardins, au milieu desquels ils vont un à un, qui mangent de la chair de porc, des choses abominables et des souris, tous ceux-là périront, dit l’Eternel.
« Je mettrai un signe parmi elles, et j’enverrai leurs réchappés vers les nations, à Tarsis, à Pul et à Lud, qui tirent de l’arc, à Tubal et à Javan, aux îles lointaines, qui jamais n’ont entendu parler de Moi, et qui n’ont pas vu Ma gloire; Et ils publieront Ma gloire parmi les nations.
« Ils amèneront tous vos frères du milieu de toutes les nations, en offrande à l’Éternel, sur des chevaux, des chars et des litières, sur des mulets et des dromadaires, à ma montagne sainte, à Jérusalem, dit l’Éternel, comme les enfants d’Israël apportent leur offrande, Dans un vase pur, à la maison de l’Éternel. » Esa. 66:15-17,19,20.
Dans ces versets nous voyons qu’un massacre a lieu, un massacre qui retranche les transgresseurs de la Vérité. Ceux qui échappent au massacre de l’Eternel sont envoyés vers les nations qui ne connaissent pas la gloire de Dieu ou qui n’ont pas entendu parler de Son nom; ils doivent ramener tous leurs frères du milieu « de toutes les nations ». Il est alors évident que le massacre se déroule à l’intérieur de l’Eglise, car les réchappés sont envoyés afin de prêcher aux Gentils qui ne connaissent rien de Dieu. Envoyer les fidèles vers les nations après le massacre des infidèles, présuppose une réorganisation. L’ordre final est d’aller, non vers beaucoup de nations, mais vers toutes les nations.
S’ils doivent ramener tous leurs frères du milieu de toutes les nations, ils doivent être par conséquent les derniers, ceux qui termineront l’oeuvre « le Mystère de Dieu », ils sont ceux par qui viendra la fin du temps de grâce et la fin du monde.
Apo. 11:1 – « On me donna un roseau semblable à une verge, en disant: Lève-toi, et mesure le temple de Dieu, l’autel, et ceux qui y adorent. »
Mesurer les adorateurs, c’est en réalité les compter. Vous réalisez donc qu’au sein du Mouvement des Adventistes du Septième Jour que voici, doit se faire le dénombrement du peuple de Dieu. Et comme il n’existe qu’un groupe qui est compté, les 144000 (Apo. 7:3), les premiers fruits (Apo. 14:1), les serviteurs de Dieu (7:3); il s’ensuit qu’ils représentent ceux qui sont comptés, ceux qui échappent et aussi ceux qui sont envoyés vers les nations. Oui, ils constituent ceux qui achèvent Le Mystère de Dieu en ramenant tous leurs frères de toutes les nations. (Apo. 7:9), les seconds fruits.
Verset 2 – « Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois. »
Les adorateurs, les membres d’église, les tribus d’Israël, doivent être comptés, mais ceux qui rempliront le parvis, les Gentils, ne sont pas comptés: «Après cela, je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l’agneau, revêtus de robes blanches, et des palmes dans leurs mains ». Apo 7:9.
Sept fois sept nous donnent quarante-neuf, ceci détermine l’année du Jubilée, la libération du peuple et du pays, le type du Royaume au complet. Mis à toute autre signification, les quarante deux mois se composant seulement de six fois sept, cela signifie que la Sainte Cité Jérusalem ne sera pas « foulée » jusqu’à l’époque du Jubilée anti type, - les Gentils y seront retranchés avant que ne s’achève le Mystère de Dieu, avant que le septième ange ne commence à sonner de la trompette.
Versets 3,4 – « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. Ce sont les deux oliviers et les deux chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre. »
Lorsque le prophète Zacharie demanda ce que symbolisaient les deux oliviers vus en vision, l’ange lui répondit, « La Parole de l’Eternel ». Zach. 4:6.
Les deux oliviers sont donc un symbole de l’Ancien et du Nouveau Testaments, la Bible (Tragédie des Siècles p.288). En ce qui concerne le symbole des deux chandeliers, le Seigneur lui-même déclare qu’ils représentent les églises (Apo. 1:20). Les deux chandeliers en relation avec les oliviers sont par conséquent un symbole des églises de l’Ancien et du Nouveau Testaments, les églises par qui nous est parvenue la Bible.
Verset 5 – « Si quelqu’un veut leur faire du mal, du feu sort de leur bouche et dévore leurs ennemis; et si quelqu’un veut leur faire du mal, il faut qu’il soit tué de cette manière. »
Par ce verset nous réalisons que bien que la Bible soit une amie pour ceux qui sont Ses amis, elle n’en demeure pas moins une ennemie terrible pour Ses ennemis. Lorsque la Vérité ne peut sauver, elle tue.
Versets 6-11 – « Ils ont le pouvoir de fermer le ciel, afin qu’il ne tombe point de pluie pendant les jours de leur prophétie; et ils ont le pouvoir de changer les eaux en sang, et de frapper la terre de toute espèce de plaie, chaque fois qu’ils le voudront.»
« Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l’abîme leur fera la guerre, les vaincra, les tuera. Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Egypte, là même où leur Seigneur a été crucifié.»
« Des hommes d’entre les peuples, les tribus, les langues, et les nations, verront leurs cadavres pendant trois jours et demi, et ils ne permettront pas que leurs cadavres soient mis dans un sépulcre. Et à cause d’eux les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l’allégresse, et ils s’enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. Après les trois jours et demi, un esprit de vie, venant de Dieu, entra en eux, et ils se tinrent sur leurs pieds; et une grande crainte s’empara de ceux qui les voyaient. »
Je n’ai pas besoin d’en dire plus au sujet de ces versets, car vous trouverez une explication détaillée les concernant dans la brochure n°2 qui s’intitule Le Paradoxe d’Avertissement, pages 47-48, édition révisée.
Versets 12, 13 – « Et ils entendirent du ciel une voix qui leur disait: Montez ici! Et ils montèrent au ciel dans la nuée; et leurs ennemis les virent. A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville tomba; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel. »
La Bible souligne qu’il n’existe qu’un seul puits de l’abîme qui ait été ouvert et c’est celui duquel sont sorties les sauterelles (Apo. 9:2), et c’est l’Etoile céleste qui ouvrit l’abymes pour libérer ses captifs, – les sauterelles qui devaient faire du mal uniquement aux hommes qui n’avaient pas le sceau de Dieu sur leur front. Puisque les sauterelles étaient capables de savoir qui possédait et également qui ne possédait pas le sceau de Dieu sur leur front, et puisqu’elles étaient les amis du peuple scellé de Dieu, la vérité apparaît donc clairement: L‘Etoile qui les libéra du puits est Christ et les sauterelles sont les Chrétiens, le peuple qui a été sauvé du Judaïsme apostat.
En outre, le fait que l’Ange d’Apocalypse 20:1 (le grand ennemi de Satan) est Celui qui détient la clef du puits de l’abîme, il s’ensuit que l’ange d’Apocalypse 20:1 et l’Etoile d’Apocalypse 9: sont un seul et même personnage; car Celui à qui la clef fut donnée, est le seul qui pouvait la posséder.
Or nous pourrions demander qui est la bête qui se trouve dans le puits de l’abîme? Si l’Etoile qui vient du Ciel et ouvre le puits est Christ; si les sauterelles qui sortent du puits sont les Chrétiens, alors on ne peut échapper à la conclusion que la bête qui est sortie du puits de l’abîme est un symbole de la Chrétienté! C’est ainsi que le Seigneur fût crucifié à cet endroit.
Or la ville est spirituellement appelée Egypte, ce qui dénote qu’elle tient en esclavage le peuple de Dieu. Le nom Sodome signifie que le peuple de Dieu devra y être secouru à l’instar de Lot.
Un dixième de la ville doit représenter la part du Seigneur, la dîme pour ainsi dire. Par conséquent, le tremblement de terre représente un criblage dans l’église de Dieu. Le reste qui donne gloire à Dieu, ne peut être que les fidèles qui survivent au criblage. C’est ainsi que l’Eglise est purifiée. Ce tremblement de terre symbolise alors le massacre d’Ezéchiel neuf et coïncide avec Esaïe 66:16.
En outre, le fait que le Mystère de Dieu s’achève lorsque le septième ange commence à sonner de la trompette; et aussi, le fait que le criblage mentionné ici a lieu pendant que le sixième ange sonne de la trompette, la Vérité qui s’en dégage, est que le criblage a lieu avant l’achèvement de l’oeuvre Evangélique. L’Esprit de Prophétie à notre époque a aussi prévu ce criblage:
« Je demandai ce que signifiait le criblage que j’avais vu. On me répondit qu’il était causé par le conseil du Témoin véritable à l’église de Laodicée. Ce conseil aura son effet sur le coeur de celui qui le reçoit; il l’amènera à exalter la vérité. Quelques-uns ne l’accepteront pas; ils le combattront, et c’est ce qui produira le criblage au sein du peuple de Dieu.» Premiers Ecrits, p. 270.
Versets 14-19 – « Le second malheur est passé. Voici, le troisième malheur vient bientôt.
« Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient: Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ; et il régnera aux siècles des siècles.
« Et les vingt-quatre vieillards, qui étaient assis devant Dieu sur leurs trônes, se prosternèrent sur leurs faces, et ils adorèrent Dieu, en disant: Nous te rendons Grâce, Seigneur Dieu tout-puissant, qui est, et qui étais, de que tu as saisi ta grande puissance et pris possession de ton règne. Les nations se sont irritées; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre.
« Et le temple de Dieu dans le ciel fut ouvert, et l’arche de son alliance apparut dans son temple. Et il y eut des éclairs, des voix, des tonnerres, un tremblement de terre, et une forte grêle. »
Si vous souhaitez étudier le onzième chapitre d’Apocalypse dans tous ses détails, lisez la brochure qui s’intitule Aux Sept Eglises.